| ODESSA MON AMOUR La Mer Noire en guerre sur la peau brûlée a cappella ; le calme de la pause du le silence du néant du manque de rien de la société qui ronronne là en bas prédatrice comme l’aboiement distant le tic-tac de l’horloge le ventilateur de plafond russe le très doux ronronnement de ses hélices menaçantes qui lancent la fausse brise sur Varela, Mutis, Lizalde et Vitale dans l’été d’Odessa et ses blonds aux jeans serrés.
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